Durées
– Préambule performatif : 2h
– Spectacle : 2h, dont 10 minutes d’entracte
Genre
Théâtre
Âge
À partir de 10 ans
Distribution
Maïa Ricaud : co-auteure – comédienne – metteur en scène ; Stéphanie Cassignard : comédienne ; Matthieu Fayette : dessinateur – comédien
Clémence Barbier : co-auteure
Olivier Waibel : collaboration artistique à l’écriture et à la mise en scène
Xavier Coriat : créateur sonore
Constance Biasotto : assistanat et collaboration artistique à la scénographie
Olivier Jeannoutot : régisseur
Elsa Pellerin : directrice de production
Production, Diffusion : leschiennesnationales@jaimebeaucoup.net
Durées
– Préambule performatif : 2h
– Spectacle : 2h, dont 10 minutes d’entracte
Genre
Théâtre
Âge
À partir de 10 ans
Distribution
Maïa Ricaud : co-auteure – comédienne – metteur en scène ; Stéphanie Cassignard : comédienne ; Matthieu Fayette : dessinateur – comédien
Clémence Barbier : co-auteure
Olivier Waibel : collaboration artistique à l’écriture et à la mise en scène
Xavier Coriat : créateur sonore
Constance Biasotto : assistanat et collaboration artistique à la scénographie
Olivier Jeannoutot : régisseur
Elsa Pellerin : directrice de production
Production, Diffusion : leschiennesnationales@jaimebeaucoup.net
Pour voir les teaser c’est un peu plus bas
Au début, il y a un texte de Jack London Ce que la vie signifie pour moi écrit au début du XXe siècle, sous la forme d’un manifeste au cours duquel il raconte pourquoi et comment il est devenu socialiste. Après, il y a notre rencontre avec Jack, avec ses autres textes, sa vie et comment il va devenir un compagnon de route et puis enfin ce que nous allons faire de tout ça…
Ce nouveau rendez-vous est une tentative de raconter et partager cette expérience inédite : Jack se retrouve alors mêlé à une histoire de Blablacar, rencontre Bourdieu et un kiné shaman entre autres…
C’est l’histoire d’un livre pris comme un mode d’emploi quand on est envahi par le trop grand, le rien ne va plus… Tout comme ce carnet trouvé par Jack dans la cale de son bateau « Comment naviguer ? » qui le sauvera un jour de grande tempête.
Au début, il y a un texte de Jack London Ce que la vie signifie pour moi écrit au début du XXe siècle, sous la forme d’un manifeste au cours duquel il raconte pourquoi et comment il est devenu socialiste. Après, il y a notre rencontre avec Jack, avec ses autres textes, sa vie et comment il va devenir un compagnon de route et puis enfin ce que nous allons faire de tout ça…
Ce nouveau rendez-vous est une tentative de raconter et partager cette expérience inédite : Jack se retrouve alors mêlé à une histoire de Blablacar, rencontre Bourdieu et un kiné shaman entre autres…
C’est l’histoire d’un livre pris comme un mode d’emploi quand on est envahi par le trop grand, le rien ne va plus… Tout comme ce carnet trouvé par Jack dans la cale de son bateau « Comment naviguer ? » qui le sauvera un jour de grande tempête.
JACK
LONDON
« Je n’ai plus envie de monter. L’imposant édifice de la société qui se dresse au-dessus de ma tête ne recèle plus aucun délice à mes yeux. Ce sont les fondations de l’édifice qui m’intéressent. Je suis content d’y travailler, la barre à mine à la main, épaule contre épaule avec les intellectuels, les idéalistes et les ouvriers qui ont une conscience de classe – et nous donnons de temps en temps un bon coup de cette barre à mine pour ébranler tout l’édifice.
Un jour, lorsque nous aurons un peu plus de bras et de barres à mines, nous le renverserons, lui et toute sa pourriture et ses morts non enterrés, son monstrueux égoïsme et son matérialisme abruti. Puis nous nettoierons la cave et construirons une nouvelle habitation pour l’humanité. Là, il n’y aura pas de salon, toutes les pièces seront lumineuses et aérées, et l’air qu’on y respirera sera propre, noble et vivant. »
Ce que la vie signifie pour moi
JACK
LONDON
Ce que la vie signifie pour moi
« Je n’ai plus envie de monter. L’imposant édifice de la société qui se dresse au-dessus de ma tête ne recèle plus aucun délice à mes yeux. Ce sont les fondations de l’édifice qui m’intéressent. Je suis content d’y travailler, la barre à mine à la main, épaule contre épaule avec les intellectuels, les idéalistes et les ouvriers qui ont une conscience de classe – et nous donnons de temps en temps un bon coup de cette barre à mine pour ébranler tout l’édifice.
Un jour, lorsque nous aurons un peu plus de bras et de barres à mines, nous le renverserons, lui et toute sa pourriture et ses morts non enterrés, son monstrueux égoïsme et son matérialisme abruti. Puis nous nettoierons la cave et construirons une nouvelle habitation pour l’humanité. Là, il n’y aura pas de salon, toutes les pièces seront lumineuses et aérées, et l’air qu’on y respirera sera propre, noble et vivant. »
Dans la continuité de la ligne artistique défendue par la compagnie favorisant la rencontre entre œuvres littéraires et espaces publiques, ici le point de départ est un manifeste autobiographique de Jack London intitulé Ce que la vie signifie pour moi écrit en 1905. Les Chiennes Nationales prennent ce manifeste comme un « mode d’emploi » pour décrypter « leur Monde » et mettent en évidence à quelle point sa pensée politique reste toujours d’une féroce actualité, qu’elle nous vivifie et nous revitalise.
Fortes de cette lecture, elles partent à la rencontre de militant(e)s écologistes, féministes, indépendantistes, gilets jaunes ou les quatre à la fois. Il en sort des enregistrements et des portraits. Un manifeste, des voix fortes de militant(e) s, et enfin de rocambolesques aventures de ces chiennes qui veulent devenir elles aussi militantes, elles aussi intellectuelles, elles aussi…
Ce que la vie signifie pour moi est une épopée littéraire menée par trois personnes en quête d’idéalisme et de réconfort intellectuel. En invitant les spectateurs à les accompagner dans leur enquête singulière, elles les embarquent dans une aventure où se confrontent littérature, présent, digression et extrapolation.
Crédits photo : Vincent Muteau
Soutiens, résidences et coproductions :
Communauté d’Agglomération Pays Basque dans le cadre du programme Atelier de Fabrique Artistique Hameka / Le réseau RADAR avec Le Fourneau, Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public en Bretagne (29) ; Rue des Arts (35) ; Les Jardins de Brocéliande (35) et la Région Bretagne / Le Parapluie – Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public (15) / Les Ateliers Frappaz, Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public (69) / L’Usine, Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public (Tournefeuille / Le MOULIN FONDU – Centre national des arts de la rue et de l’espace public (CNAREP) – Ile-de-France / Toulouse Métropole – 31) / Lieux Publics, Centre national & pôle européen de création pour l’espace public (13) / Ax Animation (09) / Les Chemins (31)
Avec le soutien de Kapla
Avec l’aide de la DGCA au titre de l’aide nationale à la création arts de la rue, DRAC Occitanie au titre de l’aide au projet et de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée.
Ce que la vie signifie pour moi a été lauréat 2018 du dispositif résidence d’auteurs – Ecrire pour la Rue (Ministère de la culture en partenariat avec la SACD)
Les extraits de Jack London sont tirés de son œuvre Ce que la vie signifie pour moi publiée aux éditions du Sonneur dans la traduction française de Moea Durieux.
https://www.editionsdusonneur.com/livre/ce-que-la-vie-signifie-pour-moi/
Droits de représentation : L’ARCHE – agence théâtrale. www.arche-editeur.com